Cette édition spéciale du légendaire Citroën La 2CV n'est plus présente nulle part ailleurs. Le 2CV Bimoteur 4×4 ORTF est si rare qu'on ne peut l'admirer que dans des musées tels que Métropole Classiques à Druten. Cette apparition rare n’est pas seulement une voiture, mais une œuvre d’art roulante – le résultat d’une ingénierie pure, conçue et conçue par des designers visionnaires avec une passion sans limite pour la technologie et la simplicité.
Construire un corps, en intégrant des innovations techniques, c’est plus qu’un simple artisanat – c’est un art. Et comme pour toute œuvre d’art, tout commence par une vision. Dans ce cas, cette vision a conduit à la naissance d’une variante 4×4 non conventionnelle : le AZ 4×4 Sahara, avec deux moteurs et une réputation à toute épreuve.
Conduire un canard est toujours de la pure nostalgie. La 2CV incarne à la fois le romantisme et la simplicité. Et peu importe la fréquence à laquelle vous la voyez, elle reste une présence frappante mais familière sur la route, même après des décennies.
Admirez la 2CV Bimoteur chez Metropole Classics
Au musée Metropole Classics, vous faites un voyage dans le temps. Vous découvrirez ici des voitures avec une âme, des véhicules qui racontent chacun leur histoire. Le saut entre le quotidien et l'exclusif 2CV Bimoteur 4×4 ressemble à une véritable icône. Pour les passionnés d'automobile, ce musée est sans aucun doute un incontournable l'endroit pour être. Découvrir le Sahara était ici une expérience en soi.
La différence : un deuxième moteur fait la différence
Robert Fluttert du Musée Métropole nous a fièrement montré plusieurs publications françaises sur la découverte et la restauration complète de la 2CV Bimoteur. Dans ces récits, la riche histoire de cet immortel Citroën largement discuté. Au premier coup d'oeil, on voit la différence avec une 2CV classique. Le 4×4 Sahara a été construit à la fin des années 50 dans une banlieue parisienne, spécifiquement pour ceux qui avaient besoin de quatre roues motrices - non pas comme un luxe, mais comme une nécessité sur un terrain accidenté.
Cette unique 2CV Bimoteur est équipé de deux moteurs 2 cylindres : un à l'avant, un à l'arrière. Dans des conditions normales, seul le moteur avant assure la propulsion, mais lorsqu'une adhérence supplémentaire est nécessaire, le deuxième moteur peut être activé. Une solution astucieuse qui lui a permis d'atteindre des endroits où d'autres voitures restaient coincées.
Reconnaissez-vous la 2CV Bimoteur ?
Ce n'est pas difficile. La roue de secours sur le capot attire immédiatement le regard. Mais ce que l'on ne voit pas immédiatement est au moins aussi impressionnant : un châssis spécial, une suspension renforcée, des jantes plus larges et un double réservoir de carburant. Aucun détail n’a été négligé. Et cela fait ceci 2CV Bimoteur 4×4 Sahara en une véritable pièce de musée – une beauté rare qui mérite pleinement sa place à Druten. Unique au monde.
Le charme immortel de la 2CV
L’influence de la 2CV est considérable. Ce fidèle compagnon de la radio et de la télévision française a su braver des chemins impraticables pour les autres. Sentiers boueux, collines escarpées, routes de montagne isolées – le 2CV Bimoteur il est allé partout où il devait être. Avec son deuxième moteur c'était une énorme surprise. Pour nous à Auto Motor Klassiek ce n'était rien de moins qu'un surprise incroyable.
L’enthousiasme pour les voitures classiques commence par le partage d’histoires comme celle-ci. C'est pourquoi un abonnement à Auto Motor Klassiek indispensable pour quiconque souhaite préserver la valeur historique du patrimoine roulant. Et soyons honnêtes, pour seulement 49,50 € par an, vous obtenez douze mois de plaisir de lecture et d'inspiration. Parce que les classiques comme le 2CV Bimoteur méritent un podium.
(Les photos continuent ci-dessous.)
Au début des années 60, je suis allé à Eemnes avec mon père pour voir une 2CV « Sahara » et je ne sais pas pourquoi nous ne l'avons pas achetée, pendant mes années d'étudiant nous avions 3 2CV différentes, la première avait encore le capot nervuré, et heureusement nous avons encore une 6CV 1987 de 1998, achetée en 2750 à un ami pour XNUMX fl., nous en prenons bien soin !
Avec deux moteurs en action, la belle prouesse technique devrait pouvoir avancer assez tranquillement. Invention brillante. Bien, Citroën a toujours été une garantie de « penser en dehors des sentiers battus ». Bon!!
De belles voitures y étaient exposées, dont cette 2CV spéciale. Nous y sommes allés avec un groupe de passionnés de ces vieilles voitures, membres de l'Historic Automobile Association, et ils ont passé une excellente journée. Bien entendu, l’auteur de cet article, Durk de Jong, était également parmi nous.
Je me souviens d'un reportage dans la Katholieke Illustratie (vers la fin des années 50) dans lequel était décrit le cadavre d'un missionnaire, composé de deux façades soudées ensemble, chacune avec un bloc moteur complet avec entraînement. Cet « engin » a été développé pour éviter d’avoir à faire demi-tour sur les routes étroites de la jungle de ce qu’on appelait alors « l’Afrique noire ».
De beaux canards !
À Texel, il y avait un médecin généraliste avec un canard du Sahara, Rijkswaterstaat en avait également quelques-uns qui circulaient.
Jetez un œil au très vaste musée 2CV à Andijk. Tes yeux vont sortir de ta tête. On peut également admirer un certain nombre de ces canards du Sahara. Recommandé!
Convenez d'un beau musée à Andijk
Il y a quelques années, j'ai visité Druten et il y avait même 2 de ces canards du Sahara.
Au fait, ils en ont également un exemplaire dans la collection de La Haye.
Un deux-côtes pour le prix d'une Ferrari.
La 2CV 4×4 Sahara a été développée à la demande spéciale de la Légion étrangère française.
Cette « Légion Étrangère » recherchait un véhicule léger avec des qualités tout-terrain pour le désert en Algérie.
Après la Seconde Guerre mondiale, la France a construit une version sous licence de la célèbre Jeep Willys, mais la Légion recherchait plus de confort.
Citroën ont relevé le défi et ont ajouté un deuxième bloc moteur à l'arrière de leur 2CV4.
Les boîtes de vitesses pourraient être reliées à un simple tuyau, de sorte que le changement de vitesse pourrait être effectué avec le seul « levier parapluie ».
De plus, le « Sahara » était équipé d'une plaque ventrale, afin de pouvoir glisser sur les dunes de sable.
La Légion en a utilisé plusieurs dizaines, malheureusement il n'en reste que quelques survivants.