Chevrolet Corvair (1963). René Kennis veut voir la «vie» de la voiture.
La rouille insidieuse a fait peu de dégâts à cette victime de tôlerie, elle était donc loin d'avoir succombé. Il ne fait aucun doute que les soins infirmiers sont nécessaires. Les plans sont donc de combattre le chevalier voleur (rouille), mais il n'y aura pas de restauration totale, car René estime qu'il faut continuer à voir la «vie» de l'Américain. Donc pas de changements visibles majeurs, la peinture reste patinée. Les améliorations viennent avec la révision du moteur et la restauration de la tôle.